Notre vestiaire d’entraide est destiné aux personnes désavantagées, mais aussi à celles qui souhaitent limiter l’impact environnemental lié à leur consommation de vêtements.
Bartim’Habits est installé depuis 2018 dans des locaux situés à la rue St-Gervais 8 à 2108 Couvet, au Val-de-Travers, dans le canton de Neuchâtel.
Nous mettons à votre disposition des habits et des chaussures de seconde main pour enfants et adultes.
La structure est ouverte le mardi matin de 9h à 11h et le vendredi après-midi de 14h à 17h (sauf les jours fériés et vacances annoncées à l’avance).
Contact : Jocelyne Mussard
Téléphone : 078 891 01 99
Adresse électronique : jomuss@bluewin.ch
La gratuité de l’accès à la structure et aux vêtements à disposition est garantie aux personnes présentant le statut de requérant ou réfugié.
Les sommes encaissées permettent à la structure de financer les quelques frais liés à l’entretien courant de ses locaux.
Le vendredi après-midi Bartim’Habits reçoit également les dons de vêtements et chaussures propres et en bon état.
En février 2016, à l’initiative de personnes de différentes églises de la région, Bartim’Habits a ouvert ses locaux prêtés par la fondation La Prévoyante. Il s’agissait alors de venir en aide aux requérants d’asile accueillis au Centre d’hébergement de Couvet. Triant les nombreux sacs de vêtements et autres accessoires reçus par différents canaux, une équipe bénévole a mis en place une permanence hebdomadaire.
Début 2018 le centre a été fermé, mais le Bartim’habits a continué l’aventure en ouvrant ses portes au public de la région. A la fois pour répondre à la précarité qui touche de nombreux foyers du Val-de-Travers et pour être une alternative à la surconsommation d’habits. A la suite de l’arrivée de nombreux Ukrainiens puis de jeunes migrants non accompagnés, le Centre a réouvert et la structure a de nouveau accueilli des réfugiés.
En 2023 l’association Bartim’habits a été créée. Son siège est à Couvet.
Pour l’heure Bartim’habits est un projet mené dans le cadre du programme des églises organisatrices. Une quinzaine de bénévoles en assure le fonctionnement
